Je suis Louis Tanascon

Je suis le dernier chef algonquin de la Petite-Nation. J’ai été guide de chasse et de pêche, j’ai enseigné à fabriquer des canots d’écorce et des raquettes. Mon épouse, Marie Louise Fournier, était algonquine par sa mère. 

Pour vous guider

Une fiche comprend la transcription des actes de baptême, de mariage et de sépulture du chef de famille et de ses enfants. Elle peut contenir le relevé de recensements civils ou de tout autre document trouvé en référence à cette famille ou à l’un de ses membres.   

« Voir fiche » à la suite d’un nom dirige le chercheur vers une seconde fiche. Le renvoi permet de suivre une personne dans ses déplacements, de vérifier s’il existe un lien de parenté à l’intérieur de son groupe, d’établir et de répertorier les différents noms qu’elle a pu avoir porté. Traditionnellement, l’Anishinabe, ou l’Algonquin, ne recourt pas au patronyme, ainsi il changera de noms plusieurs fois au cours de sa vie. La langue de l’interlocuteur et l’écriture parfois illisible d’une source manuscrite ont donné lieu à des variantes et à des corruptions du même nom. Dans la mesure où ces cas ont été résolus, ces noms sont reportés à sa fiche. 

  Le répertoire présenté ici n’est pas exhaustif. Des fiches demeurent incomplètes. Pour toutes sortes de raisons des actes ont été perdus, d’autres n’ont jamais été consignés quand, par exemple, à la naissance ou au décès d’une personne, fidèle à une croyance ancienne, la famille confiait son immortalité au Grand Esprit. Si vous relevez des erreurs ou si vous possédez des renseignements validés pouvant compléter ceux manquants sur les fiches, 
vous pouvez me joindre à cette adresse : 
jgpaquin47@gmail.com